Ferrari 275 GTB
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Ferrari 275 GTB
Au début des années 60, en dépit de lignes splendides, la Berlinetta Ferrari 250 GT fut considérée comme démodée, et remplacée. Celle qui lui succédait, la 275 GTB, fut présentée en octobre 1964 au Salon de Paris. Si Pininfarina avait su lui donner une allure conforme a la tradition, la nouvelle venue était différente de la série des 250 dans trois domaines important : un moteur plus gros, la cylindrée passant a 3,3 litres, un ensemble boite-pont regroupé a l'arrière et une suspension indépendante sur les quatre roues.
Ci-dessous : Dessiné par Pininfarina, la 275 GTB possède des lignes fluides qui expriment la personalité de la 275 GTB, engin capable d'atteindre 100 km/h en moins de 7 secondes et de dépasser 250 km/h. Les premiers modèles ayant connu des problèmes de portance, le «nez» fut rallongé sur les 275 qui suivirent. Ci-dessous : Vue au Challenge Ferrari de Brands Hatch en 1980, cette 275 GTB de 1965 s'avère aussi performante que des automobiles plus récentes, quoique handicapée par le freinage ; l'endurance et la tenue en température sont de leur époque !
Ci-dessous : La carrosserie de la 275 GTS était également du au crayon de Pininfarina. La rigidité de cette version Cabriolet, liée a celle de l'ensemble châssis-carrosserie, était évidemment moindre que sur un coupé.
Ci-dessous et en Médaillon : La GTB/4 de 1966, qui possédait le moteur avec les culasses a 4 ACT, s'identifiait aisément grace au bossage sur le capot destiné au passage des six carburateurs Weber. Avec une puissance de 300 ch, la GTB/4, atteignant les 160 km/h en 15 secondes, dépassait 265 km/h en vitesse de pointe.
Ci-dessous : Les carrosseries en acier de la berlinette, avec panneaux en alliage, étaient construites chez Scaglietti.
Ci-dessous : Le traitement du cabriolet GTS (ici avec hard-top) par Pininfarina était très différent de celui de la GTB, avec une allure beaucoup plus classique.
Ci-dessous : L'une des 11 GTB/C de course dotées d'une carrosserie en alliage, réalisées pour les écuries représentant officiellement Ferrari.
Ci-dessous : Grace a la boite de vitesse placée a l'arrière, l'habitacle, typiquement Ferrari, était un peu plus spacieux que sur les 250. Ci-dessous : L'emblème de Ferrari ornait, a l'origine, l'avion de chasse d'un grand ami d'Enzo Ferrari.
Ci-dessous : La GTB recevait des logements de phare réalisé en Plexiglas.Ci-dessous : Intemporels et typiques, les feux arrières ronds et massifs utilisée par Ferrari sur les GT.
Ci-dessous : Les ouïes en «dents de requin» facilitaient le refroidissement du moteur et surtout des freins.
Ci-dessous : La commande de la boite de vitesses de la GTB/4 était guidée par la grille classique des Ferrari.
Ci-dessous : Les roues Campagnolo en alliage a écrou central des 275 GTB.
Ci-dessous : Le moteur a simple arbre a cames et trois carburateurs Weber (six en option) développait 280 ch.
Ci-dessous : La suspension avant, avec les triangles en haut et en bas, le combiné ressort-amortisseur, la barre antiroulis et la biellette de direction.
Ci-dessous : Dessiné par Pininfarina, la 275 GTB possède des lignes fluides qui expriment la personalité de la 275 GTB, engin capable d'atteindre 100 km/h en moins de 7 secondes et de dépasser 250 km/h. Les premiers modèles ayant connu des problèmes de portance, le «nez» fut rallongé sur les 275 qui suivirent. Ci-dessous : Vue au Challenge Ferrari de Brands Hatch en 1980, cette 275 GTB de 1965 s'avère aussi performante que des automobiles plus récentes, quoique handicapée par le freinage ; l'endurance et la tenue en température sont de leur époque !
Ci-dessous : La carrosserie de la 275 GTS était également du au crayon de Pininfarina. La rigidité de cette version Cabriolet, liée a celle de l'ensemble châssis-carrosserie, était évidemment moindre que sur un coupé.
Ci-dessous et en Médaillon : La GTB/4 de 1966, qui possédait le moteur avec les culasses a 4 ACT, s'identifiait aisément grace au bossage sur le capot destiné au passage des six carburateurs Weber. Avec une puissance de 300 ch, la GTB/4, atteignant les 160 km/h en 15 secondes, dépassait 265 km/h en vitesse de pointe.
Ci-dessous : Les carrosseries en acier de la berlinette, avec panneaux en alliage, étaient construites chez Scaglietti.
Ci-dessous : Le traitement du cabriolet GTS (ici avec hard-top) par Pininfarina était très différent de celui de la GTB, avec une allure beaucoup plus classique.
Ci-dessous : L'une des 11 GTB/C de course dotées d'une carrosserie en alliage, réalisées pour les écuries représentant officiellement Ferrari.
Ci-dessous : Grace a la boite de vitesse placée a l'arrière, l'habitacle, typiquement Ferrari, était un peu plus spacieux que sur les 250. Ci-dessous : L'emblème de Ferrari ornait, a l'origine, l'avion de chasse d'un grand ami d'Enzo Ferrari.
Ci-dessous : La GTB recevait des logements de phare réalisé en Plexiglas.Ci-dessous : Intemporels et typiques, les feux arrières ronds et massifs utilisée par Ferrari sur les GT.
Ci-dessous : Les ouïes en «dents de requin» facilitaient le refroidissement du moteur et surtout des freins.
Ci-dessous : La commande de la boite de vitesses de la GTB/4 était guidée par la grille classique des Ferrari.
Ci-dessous : Les roues Campagnolo en alliage a écrou central des 275 GTB.
Ci-dessous : Le moteur a simple arbre a cames et trois carburateurs Weber (six en option) développait 280 ch.
Ci-dessous : La suspension avant, avec les triangles en haut et en bas, le combiné ressort-amortisseur, la barre antiroulis et la biellette de direction.
Dernière édition par Maniac le Jeu 04 Aoû 2016, 12:17, édité 1 fois
Maniac- Régulier
- Nombre de messages : 144
Date d'inscription : 18/10/2006
PIERRE 01- Légende
- Ville/Région : france ( ain 01 )
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Date d'inscription : 30/10/2010
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